Emballer, c'est peser le poids de vos baisers...
9 Octobre 2018
Tu ralentis les secousses de mon cœur
Au firmament du long voyage
Les veines se remplissent de liquide, de nuages
Quand s'estompent les morsures du bleu songeur
J'électrise l'oubli trompeur
De l'âme qui ne trouve plus son âge
Et mon corps déraillé qui file vers l'inconnue toute tracée
Le néant s'écrase et boursoufle l'obscurité
Dans le désert noir, je suis arrivée
C'est l'oasis de mon repos, du mirage décomposé